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22 juillet 2014 2 22 /07 /juillet /2014 22:33

Mardi 22 juillet 2014 Gap Cathédrale ND de l’Assomption   Prenez une virtuose de classe internationale et un compositeur méconnu en France mais régulièrement joué aux Etats-Unis et vous obtiendrez un récital d’exception.

 

Sophie-Véronique CAUCHEFER-CHOPLIN s’est initialement formée à l’Ecole Nationale de Musique de la préfecture de la Sarthe, Le Mans, avant d’intégrer le Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris où elle obtiendra un premier prix d’orgue et d’improvisation puis d’harmonie, de fugue et de contrepoint.

Elle est nommée titulaire du Grand-Orgue de Saint Jean-Baptiste de la Salle et titulaire-adjointe de celui de Saint Sulpice. Elle poursuit sa carrière par des tournées en France, au Etats-Unis, au Canada, en Russie, au Japon, en Islande, à Singapour, en Chine et en Australie…

Elle a donné des concerts avec des récitants de renom comme Michael Lonsdale, Marcel Maréchal, Jean-Michel Dhermay et Brigitte Fossey. Elle anime également des master-class, est sollicitée comme jury de concours nationaux et internationaux et a réalisé de nombreux enregistrements.

 

Pour ce 3ème concert de la saison estivale Gap en Famisol (il n’y en a pas eu en première semaine), Sophie-Véronique CAUCHEFER-CHOPLIN s’est proposé de faire découvrir le compositeur Henri MULET, musicien français (1878-1967) auteur d’œuvres orchestrales, vocales, pour orgue, pour harmonium…

 

Plus particulièrement, des extraits des Esquisses byzantines, dix Pièces pour Grand-Orgue «En mémoire de la Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre 1914–1919». Ces œuvres nécessitaient  dextérité et technicité, sensibilité et inspiration, soit les ingrédients de la virtuosité. On a donc pu entendre six pièces du compositeur, séparées par un Choral de César Franck (1822-1890), et précédées par des poèmes du frère Isidore, de l’Abbaye de Boscodon, disparu le 17 février 2009. En conclusion, un thème d’improvisation a été proposé à l’organiste, bien connu des haut-alpins, le rigaudon (ou rigodon), danse traditionnelle à deux temps, autrement dénommée « Le coucou ». L’organiste a développé ce thème avec subtilité et intensité pour un final en apothéose sous les vivats du public.

 

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Michel Bernard-Reymond, président des Amis de l'Orgue et Sophie-Véronique Cauchefer-Choplin, concertiste...

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...avec Michel Pellegrin, organiste, qui s'est chargé d'une partie des registres

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Virtuose...

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...toute en sensibilité

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Deuxième organiste haut-alpin, bien connu lui aussi, à tirer les registres, Gabriel Nal

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Mise au point technique avant le concert

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L'orgue Jean Dunand est équipé d'une cinquantaine de registres...

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...voir ici

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Environ 200 spectateurs

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Une turbine électrique fournit l'air nécessaire aux tuyaux de l'orgue

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L'ancien orgue, construit en 1946, toujours présent, dans une salle contiguë

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Témoins d'un riche passé de concerts

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Dédicace personnelle (cathédrale Sainte-Cécile à Albi)

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Cette année, la disposition des bancs a été revue pour une meilleure visibilité de l'écran

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L'organiste a enregistré de nombreux CD

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Les participations volontaires contribuent au financement des concerts

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Ne pas oublier

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Chaque détail compte

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Le buffet d'orgue domine de plus de dix mètres le public

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La généralisation de la retransmission sur grand écran (cela a un coût) a apporté une plus grande présence de l'organiste auprès du public

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Sophie-Véronique CAUCHEFER-CHOPLIN salue le public...qui peut difficilement l'apercevoir

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