31 juillet 2013 La place aux Herbes a accueilli en deux parties une soirée jazz. A 18h30, c’est le Alfio Origlio Quartet qui a enchanté les quelque 300 spectateurs présents. Puis à 21h30, c’est le Salvatore Origlio Sextet, emmené par le papa qui a fait résonner les standards des années 50-60 devant 500 spectateurs. Une affaire de famille donc. Mais un style différent.
Alfio Origlio fait partie d’une école moderne du jazz, explorant des territoires nouveaux tout en se référant aux pointures telles que Manu Katché ou Salif Keita avec lesquels il a collaboré. Il fait partie des pianistes de jazz doués de sa génération.
Salvatore Origlio, qui a passé son enfance à Gap et revient y jouer 44 ans après, rend hommage aux Jazz Messengers, formation nord-américaine mythique née en 1953 qui a contribué à faire émerger le hard bop, style de jazz se référant aux racines africaines des noirs américains (Black is beautiful) en réaction au jazz des « blancs ».
18h30
Alfio Origlio Quartet
Un jazz doux et inspiré...
...avec une dimension corporelle
Au piano, Alfio Origlio
Un public mûr et averti
21h30
Salvatore Origlio Sextet
Au piano, le fils, Alfio Origlio
A la batterie, Salvatore Origlio, le père